Rétrospective – Messe de la Ronde – 15 septembre 2024

     Dimanche 15 septembre 2024, le pèlerinage annuel de la Ronde, s’élançait derrière la statue de Notre-Dame vers la chapelle où elle réside habituellement.

Familles, jeunes et anciens, paroissiens fidèles ou plus occasionnels se retrouvaient lors des chants et la récitation du chapelet.

La messe, animée par la chorale paroissiale, accueillait les enfants de cette nouvelle année de catéchisme.

En cette fête de la Sainte Croix, la paroisse de Bourbon l’Archambault nous avait prêté la relique en sa possession dans son église.

Ainsi, après le déjeuner partagé, le Père Broult proposait à une nombreuse assistance, une passionnante conférence sur la découverte de la relique de la Croix à Jérusalem et son arrivée en Bourbonnais.

Journée de prière et de partage toujours fort appréciée des nombreux pèlerins venus de la paroisse ou de plus loin.

Rendez-vous l’année prochaine !

Notre-Dame de la Ronde à Chazeuil

Un peu d’histoire ou légende ? : « Chapelle Notre-Dame de la Ronde, église de style roman, datant du XIème siècle. Sur un monticule qui longe l’Allier et le chemin de fer, à quelques pas du château de Chazeuil, s’élève l’antique chapelle de la Ronde. Une légende s’y attache. La Madone réapparait d’abord dans l’église d’Agonges près de Souvigny. Un jour, les habitants voulurent la remplacer par une statue plus élégante, et la première fut reléguée dans un coin obscur. Mais, le lendemain, l’antique image de Marie avait repris son trône d’honneur, tandis que la nouvelle statue gisait à terre. Le sacristain rétablit l’une et l’autre en leur place, refermant la Madone vénérable dans une armoire de la sacristie. Cette fois encore, la Vierge déjoué le projet des hommes et alla se réfugier dans le creux d’un ormeau que l’on voit encore aujourd’hui. Un berger la découvrit en cet endroit, et bientôt, les fidèles la réinstallèrent dans le temple qu’elle occupait jadis. Mais la Madone disparut encore, et, cette fois sans retour du pays d’Agonges. »